NePleure pas si tu m’aimes. La mort n’est rien Je suis seulement passé de l’autre côté Je suis moi-Tu es toi Ce que nous étions l’un pour l’autre, Nous le sommes toujours. Donne-moi le nom Que tu m’as toujours donné. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas un ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui Nous faisait rire Ne pleure pas si tu m'aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel. Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d'eux. Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent. Quoi, tu m'as vu, tu m'as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ! Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient et, quand un jour que Dieu connaît et qu'il a fixé, ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédée la mienne, ce jour-là tu me reverras, tu retrouveras mon affection épurée. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, infidèles aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie, je sois devenu moins aimant. Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d'instant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie. Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m'aimes. »Saint Augustin 354-430, évêque d’Hippone et Docteur de l’Eglise

Chérie ne pleure pas, je n'vais pas m'enfuir Et, si je ne rentre pas, c'est qu'je n'ai pas le titre J't'ai promis de l'faire, je n'veux pas t'mentir J'ai besoin qu'tu m'aimes encore Chérie, ne pleure pas, je n'vais pas m'enfuir Et, si je ne rentre pas, c'est qu'je n'ai pas le titre J't'ai promis de l'faire, je n'veux pas t'mentir J'ai besoin qu'tu m'aimes encore J'veux pas rester en chien

Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le Ciel ! Si tu pouvais d’ici, entendre le chant des Anges et me voir au milieu d’eux ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les sentiers où je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler, comme moi, la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Quoi ! tu m’as vue, tu m’as aimé dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir, ni m’aimer encore dans le pays des immuables réalités ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient, et quand un jour que Dieu connait et qu’il a fixé, ton âme viendra dans le Ciel où l’a précédée la mienne, ce jour-là, tu reverras celle ou celui qui t’aimait et qui t’aime encore, tu en retrouveras les tendresses épurées. Tu me reverras donc, transfigurée dans l’extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d’instant en instant, avec toi qui me tiendra la main, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie, buvant avec ivresse aux pieds de Dieu un breuvage dont on ne se lasse jamais et que tu viendras boire avec moi. Essuie tes larmes et ne pleure plus, si tu m’aimes. Saint Augustin Nepleure pas si tu m'aimes 68,670 views Aug 9, 2012 285 Dislike Share Save Serge Lefebvre 99 subscribers Pour tous ceux et celles qui ont quelqu'un là
€ La prière de St Augutin est absolument sublime ! Ne pleure pas si tu m’aimes… » Découvrez-la sur cette belle reproduction, calligraphiée et joliment ornée d’enluminures. Dans les moments difficiles, confronté à la perte d’un être cher, les mots apaisent un peu la peine. La prière de Saint Augustin évoque la mort avec tant de beauté qu’elle la rend moins difficile à accepter et amène beaucoup de réconfort. Description Avis 0 Description Enluminée et calligraphiée par nos soins, cette création est éditée sur un beau papier velin à grains. Dimensions 34 cm de largeur et 44 cm de hauteur Extrait du texte Ne pleure pas si tu m’aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce qu’est le ciel ! Si tu pouvais d’ici entendre le chant des anges, et me voir au milieu d’eux ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marches …. Essuie tes larmes, et ne pleure pas si tu m’aimes !
Nepleure pas si tu m'aimes Saint Augustin. Si tu savais le don de Dieu et ce qu’est le ciel, Si tu pouvais d’ici entendre le chant des anges et me voir au milieu d’eux, Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons
Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel ! Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche ! Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Quoi ?… tu m'as vu… tu m'as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient, et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé, ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédé la mienne… ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie et sois devenu moins aimant ! Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant, avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie ! Alors… essuie tes larmes, et ne pleure plus… si tu m'aimes !…
Stickermural citation : Si tu m'aimes dis-le moi, si je pleure console-moi mais si je meurs ne me suis pas Sticker mural citation : Si tu m'aimes dis-le moi, si je pleure console-moi mais si je meurs ne me suis pas  Lettrage adhésif 1 couleur. Si la disposition ne vous convient pas, vous pourrez découper et placer chaque mot à votre convenance. flagFabrication
Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel ! Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche ! Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Quoi ?… tu m'as vu… tu m'as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient, et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé, ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédé la mienne… ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie et sois devenu moins aimant ! Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant, avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie ! Alors… essuie tes larmes, et ne pleure plus… si tu m'aimes !… Tags La Page de Pat . 457 148 235 400 343 252 338 46

ne pleure pas si tu m aimes