Quandon parle de guĂ©rison, il faut tenir compte de 3 choses en particulier : Le sang du sacrifice de JĂ©sus, en occurrence la victoire quâil nous donne sur la maladie, le pouvoir quâun chrĂ©tien dĂ©tient sur Satan et enfin lâhabitation en lui du Saint Esprit. Ces trois Ă©lĂ©ments doivent bien entendu avoir pour fondement la foi. versets bibliques sur la guĂ©rison, guĂ©rison par le
Paru Ă Cologne en 1666 dans Divers traitĂ©s de piĂ©tĂ©, cette priĂšre adressĂ©e Ă Dieu associe la destruction du corps et de la vie individuelle Ă la destruction du monde et de toutes les choses du monde. Dans cette priĂšre, d'un ton presque apocalyptique, Pascal Ă©tablit un lien non seulement entre la destruction de son propre corps par la maladie et l'entiĂšre destruction de la vie et du monde, mais Ă©galement entre le jugement qu'il porte sur sa propre vie Ă la veille de sa mort et le jugement de Dieu Ă la fin des temps. Devant la rigueur de la sentence qu'il attend, il implore la misĂ©ricorde de Dieu. Ă Dieu, devant qui je dois rendre un compte exact de toutes mes actions Ă la fin de ma vie et Ă la fin du monde! Ă Dieu, qui ne laissez subsister le monde et toutes les choses du monde que pour exercer vos Ă©lus, ou pour punir les pĂ©cheurs! Ă Dieu, qui laissez les pĂ©cheurs endurcis dans l'usage dĂ©licieux et criminel du monde! Ă Dieu, qui faites mourir nos corps, et qui, Ă l'heure de la mort, dĂ©tachez notre Ăąme de tout ce qu'elle aimait au monde! Ă Dieu, qui m'attacherez, Ă ce dernier moment de ma vie, de toutes les choses auxquelles je me suis attachĂ©, et oĂč j'ai mis mon cĆur! Ă Dieu, qui devez consumer au dernier jour le ciel et la terre et toutes les crĂ©atures qu'ils contiennent, pour montrer Ă tous les hommes que rien ne subsiste que vous, et qu'ainsi rien n'est digne d'amour que vous puisque rien n'est durable que vous! Ă Dieu, qui devez dĂ©truire toutes ces vilaines idoles et tous ces funestes objets de nos passions! Je vous loue, mon Dieu, et je vous bĂ©nirai tous les jours de ma vie, de ce qu'il vous a plu prĂ©venir en ma faveur ce jour Ă©pouvantable, en dĂ©truisant Ă mon Ă©gard toutes choses, dans l'affaiblissement oĂč vous m'avez rĂ©duit. Je vous loue, mon Dieu, et je vous bĂ©nirai tous les jours de ma vie, de ce qu'il vous il a plu me rĂ©duire dans l'incapacitĂ© de jouir des douceurs de la santĂ© et des plaisirs du monde, et de ce que vous avez anĂ©anti en quelque sorte, pour mon avantage, les idoles trompeuses que vous anĂ©antirez effectivement pour la confusion des mĂ©chants, au jour de votre colĂšre. Faites, Seigneur, que je me juge moi-mĂȘme ensuite de cette destruction que vous avez faite Ă man Ă©gard, afin que vous ne me jugiez pas vous-mĂȘme ensuite de l'entiĂšre destruction que vous ferez de ma vie et du monde. Car, Seigneur, comme Ă l'instant de ma mort je me trouverai sĂ©parĂ© du monde, dĂ©nuĂ© de toutes choses, seul en votre prĂ©sence, pour rĂ©pondre Ă votre justice de tous les mouvements de mon cĆur, faites que je me considĂšre en cette maladie comme en une espĂšce de mort, sĂ©parĂ© du monde, dĂ©nuĂ© de tous les objets de mes attachements, seul en votre prĂ©sence, pour implorer de votre misĂ©ricorde la conversion de mon cĆur; et qu'ainsi j'aie une extrĂȘme consolation de ce que vous m'envoyez maintenant une espĂšce de mort pour exercer votre misĂ©ricorde, avant que vous m'envoyiez effectivement la mort pour exercer votre jugement. Faites donc, ĂŽ mon Dieu, que comme vous avez prĂ©venu ma mort, je prĂ©vienne la rigueur de votre sentence, et que je m'examine moi-mĂȘme avant votre jugement, pour trouver misĂ©ricorde en votre prĂ©sence.
Cettemaladie neurodĂ©gĂ©nĂ©rative qui touche 2 % de la population aprĂšs 65 ans dĂ©bute gĂ©nĂ©ralement entre 60 et 75 ans. Les symptĂŽmes dâalerte, souvent discrets, doivent
MĂȘme si au Moyen-Ăąge, il nây avait pas de voiture, pas dâusine, moins dâhumains et donc pas de pollution, bah je peux vous dire quâon vivait pas forcĂ©ment plus longtemps. En effet, on nâavait pas vraiment de trucs comme les vaccins ou mĂȘme comme un bon Doliprane pour se faire passer une gueule de bois. Câest pour cette raison quâon trouve Ă cette Ă©poque qui englobe Ă peu prĂšs un millĂ©naire aussi, faut dire des maladies vraiment pas ragoĂ»tantes. Bienvenue dans le merveilleux monde des bubons et des furoncles. 1. La lĂšpre Si la maladie existe toujours dans certains pays dâAsie et dâAfrique, elle a eu pas mal le vent en poupe au Moyen-Ăąge, aussi parce quâon commençait Ă en reconnaĂźtre les symptĂŽmes dĂšs le VĂšme siĂšcle. Les lĂ©preux diagnostiquĂ©s comme tels sont alors dĂ©jĂ considĂ©rĂ©s comme morts. Un Ă©vĂȘque doit les accompagner dans leurs derniers instants, leur offrant une cĂ©rĂ©monie mortuaire alors quâils ne sont pas encore morts avec offrandes et tout le tintouin. Il expliquait ensuite aux lĂ©preux quâil fallait quâil se casse pour pas refiler ses postillons aux personnes saines. Du coup les pauvres gars allaient clamser tout seuls, avec des boursouflures crevassĂ©es partout sur le visage, le nez qui tombait, et globalement des membres rapidement dĂ©tĂ©riorĂ©s. 2. La variole Dans la sĂ©rie des maladie bien crados, je vous invite Ă ne pas chercher variole » sur Google Images si vous voulez faire encore des rĂȘves la nuit. Elle est nĂ©e probablement au Moyen-Age et continue de persister de nos jours. Sorte de mouchetage de pustules », cette maladie infectieuse et trĂšs contagieuse qui recouvrait le corps de pustules ne connaissait comme traitement thĂ©rapeutique que les ventouses censĂ©es crever les tumeurs. Et comme on nâavait pas un bon tube de Roaccutane sous le coude, ça devait pas ĂȘtre joli joli. 3. La peste noire Certainement la pire Ă©pidĂ©mie qui ait existĂ© dans toute lâhistoire de lâhumanitĂ©, la peste bubonique a butĂ© en 30 et 50 % de la population europĂ©enne. En 5 ans. Efficace. Soit environ 25 millions de victimes. TrĂšs glamour, cette charmante maladie se manifeste par un gonflement des ganglions lymphatiques, de terribles maux de tĂȘtes et des douleurs musculaires et articulaires. Mais ça câest seulement au dĂ©but. AprĂšs ça te fait des bubons qui se percent Ă lâintĂ©rieur du corps et te font gĂ©nĂ©ralement mourir dâune septicĂ©mie dans dâatroces souffrances. 4. L'ergotisme ou le "mal ardent' Cette maladie frĂ©quente au Moyen-Age Ă©tait une infection due Ă un champignon. Elle se manifestait par des membres nĂ©crosĂ©s mais surtout par la sensation de brĂ»ler de lâintĂ©rieur, dâoĂč ses autres petits noms feu sacrĂ© » ou feu de Saint-Antoine ». La bonne nouvelle avec cette maladie câest quâon en meurt assez vite avant dâen ressentir les troubles cardio-vasculaires. YAY. 5. La suette anglaise A priori on ne lâa pas recroisĂ©e depuis le Moyen-Age oĂč elle est apparue en Angleterre sous forme Ă©pidĂ©mique. Câest lâarmĂ©e du roi Henri VII qui est touchĂ©e en premier. La maladie est foudroyante et tue en moins de 24 heures. Elle se manifeste dâabord par des frissons, une forte soif, un gros dĂ©lire, une sueur excessive et une puanteur Ă gerber. Le plus Ă©tonnant câest que cette maladie sâattaque avant tout aux personnes bien portantes et non aux vieillards et aux enfants. Pour une fois ! 6. Les Ă©crouelles Cette forme de maladie tuberculeuse sĂ©vissait tout particuliĂšrement au Moyen-Age. Comment te dĂ©crire ses symptĂŽmes sans te donner envie de dĂ©gueuler..? Bon alors je vais pas y aller par quatre chemins mais en gros ça te colle des fistules purulentes dans le cou. Et le truc comique câest quâĂ lâĂ©poque on pensait que seul un contact physique avec un roi pouvait nous guĂ©rir de cette toute petite acnĂ©. Comme on sâen doute, câĂ©tait totalement de la connerie. 7. La blennorragie Le truc chouette avec les IST câest quâelles ne sont jamais totalement Ă©radiquĂ©es. En lâoccurrence la blennorragie sĂ©vit toujours de nos jours mais sa propagation est heureusement limitĂ©e par le port du prĂ©servatif. Câest tant mieux parce que ses symptĂŽmes sont franchement pas rĂ©jouissants Ă©coulements de pus par le pipou jâessaie de rendre cette description moins immonde par lâusage de mots trop choupi. AprĂšs ça tu nâenvisageras plus les fellations avec le mĂȘme appĂ©tit. 8. La disenterie Cette maladie infectieuse du cĂŽlon a traversĂ© les siĂšcles avec beaucoup de persistance. Elle existe toujours. Et au Moyen-Ăąge câĂ©tait lâĂ©quivalent dâun rhume sauf quâĂ la place de se moucher on avait la diarrhĂ©e et quâĂ la fin, on mourrait. Sale ambiance.
. 271 105 144 403 436 192 336 207
cette maladie n est pas pour la mort