Bac2022, les épreuves de retour après deux ans de Covid. Législatives : la campagne commence. Invasion russe en Ukraine : Poutine s'obstine Confidentialité et cookies ce site utilise des cookies. En continuant à naviguer sur ce site, vous acceptez que nous en utilisions. Pour en savoir plus, y compris sur la façon de contrôler les cookies, reportez-vous à ce qui suit Notre politique relative aux cookies LeTalentueux Mr. Ripley, ou L'Énigmatique M. Ripley au Québec (The Talented Mr. Ripley) est un film américain réalisé par Anthony Minghella, sorti en 1999. Quarante ans après le film Plein Soleil de René Clément avec Alain Delon, Anthony Minghella adapte à nouveau le roman de Patricia Highsmith, Monsieur Ripley, publié en 1955. Dans Les Infiltrés, Martin Scorsese semble travailler sur la relation entre les personnages et les interprètes qui les incarnent offrant un tableau complet ? de l’acteur masculin à Hollywood au début du XXIe siècle. Je m’intéresse ici à Matt Damon, véritable star incomplète… - Matt Damon qui vient de lire cette note Prolégomènes 1 L’art en général et le cinéma en particulier utilisent des idées génériques la vie, la mort, l’amour, le bien, le mal, le pouvoir, … ainsi que des archétypes qui les incarnent[1] le Héros, la Femme, la Mère, le Père, Dieu, le Diable, … et des situations qui les portent. Concernant Les Infiltrés, je puis ainsi affirmer – sans choquer – que Costello Jack Nicholson est le Diable mais aussi le père de Sullivan pour Sullivan bien que d’un point de vue scénaristique, il ne soit ni le Diable, ni le père de Sullivan. L’homosexualité de ce dernier a donc peut-être un caractère plus symbolique que diégétique. 2 Dès lors, certaines des associations précédemment évoquées nous apparaissent clairement quand nous en ignorons, voire en refusons, d’autres. Cela peut traduire notre malaise devant certains d’entre elles[2] ici qu’un héros soit homosexuel pose problème tant pour le rapport à notre propre sexualité nous sommes toujours notre premier partenaire sexuel – ce que l’on voudrait nier[3] cela renvoie à la thématique du double qu’en ce qui concerne la confrontation entre notre perception sociale – rêvée et réelle – de l’homosexualité ils – c’est-à-dire eux donc d’autres que nous – sont nos égaux et notre modèle du héros masculin viril, forcément viril ; hétérosexuel, forcément hétérosexuel cela met en jeu le thème du héros – ou du double rêvé. Il revient ainsi à l’artiste de pointer les questionnements des individus et des sociétés, parfois sans pouvoir les formuler autrement que par leur art et en laissant les réponses ouvertes[4] à moins de souhaiter se transformer en moralisateur[5]. Le spectateur peut alors choisir de s’y confronter lui-même. 3 Dans le même ordre d’idées, rappelons l’une des plus courantes de ces associations l’érection, fondamentalement fonctionne comme métaphore de la puissance d’où l’une des acceptions du mot impuissant tout simplement car il s’agit pour les jeunes adolescents mâles – à peine sortis de l’enfance et des rêves d’héroïsme qui la peuplent – d’une matérialisation concrète et surtout quasi-simultanée avec différentes positions … que l’on doit s’efforcer de contrôler d’un nouveau pouvoir. Cela donne naissance à deux grands types de héros le héros simple qui mobilise son pouvoir quand les circonstances l’exigent et le héros tourmenté qui ne cesse de se demander s’il ne crée pas artificiellement ces circonstances à la seule fin d’exercer son pouvoir d’où l’alternative que l’on peut crûment exposer ainsi Je l’aime donc je bande/Je bande donc – peut-être ? – je l’aime ; dans cette seconde catégorie se rangent tout aussi bien le Peter Parker de Spiderman de Sam Raimi, 2002, que de nombreux héros de Fiodor Dostoïevski Raskolnikov dans Crime et Châtiment, 1866 ou Aliocha dans Les Frères Karamazov, 1880, l’incapacité à assumer son désir sexuel étant l’une des problématiques favorites du grand romancier russe. Cette question n’est guère abordée dans Les Infiltrés mais une autre, tout aussi fondamentale, l’est l’incomplétude du héros c’est-à-dire l’homme tel qu’on peut le rêver et ce notamment à travers les troubles sexuels de Colin Sullivan. Car, que nous disent Les Infiltrés ? I- Sullivan, héros incomplet Le personnage de Billy Costigan Leonardo Di Caprio apparaît comme un personnage complexe torturé par un passé familial qui l’amène du côté des truands, dans l’incapacité de communiquer, en permanence au bord de l’explosion et régulièrement dominé par ses pulsions violentes, il demeure, malgré ce passif, du côté de la loi. Cependant cette complexité n’est qu’un leurre car, quelle que soit sa difficulté, la mue finira par s’effectuer et il ne fait guère de doutes qu’il figurera en héros absolu. En effet, il a d’emblée rompu avec son passé et ce qu’il représentait ; celui-ci, donc, ne figure plus en modèle ce qui résout, au moins en partie, son complexe d’Œdipe et ce quelles que soient les forces le ramenant à son passé. Ce n’est pas tant en fait son engagement du côté de la loi qu’on ne peut trop directement assimiler au Bien[6] qui en fait un héros mais bien cette résolution. Ainsi contre les apparences, il file droit et possède, en outre, toutes les armes du héros notamment celle de la séduction. C’est donc lui qui, in fine, séduit Madeleine Vera Famiga, seule et unique personnage féminin de cette œuvre et qui figure la Femme[7] pour les hommes. Existe alors une différence entre ce que l’histoire raconte et ce que montre le film si on lit le scénario, cette femme ne devrait pas tomber amoureuse de Costigan ; or si on regarde le film, il est évident que c’est le cas[8]. Vera Farminga Colin Sullivan, lui, semble plus simple truand doué dès sa jeunesse, placé dans une situation plus confortable que Costigan, il joue son rôle à la perfection allant même jusqu’à être le premier à séduire Madeleine. Seulement quelle est sa situation réelle ? Il s’est détourné de son père dès son enfance pour s’en choisir un autre, Costello[9]. Or ce dernier l’écrase rendant paradoxalement caduque sa décision initiale qui n’avait pour but que de ne pas se confronter à la faiblesse de son géniteur faiblesse que Costigan, lui, assume. Ramené en situation d’infériorité, il subit doublement le poids de la figure paternelle. Ce n’est pas tout s’il séduit Madeleine, celle-ci n’est, en réalité, attirée par lui que par qu’il représente l’homme idéal mais non pas le héros[10] ce sera Costigan. En aucun cas donc, elle ne tombe amoureuse de Sullivan mais se contente d’appliquer une leçon bien apprise tout comme Sullivan l’a séduite en récitant, de façon millimétrique, une leçon. Cela n’est déjà guère glorieux mais le fait que Sullivan joue un rôle réduit cet amour à un leurre et le condamne à se dérégler ce qui ne serait pas le cas si elle était vraiment tombée amoureuse de Sullivan d’où son impuissance. Ce dernier est donc pour le moins un héros très incomplet qui fonctionne comme un double[11], une ombre de Costigan. A n’en pas douter, Sullivan aurait voulu être Costigan alors que l’inverse n’est pas vrai ; tout juste peut-on suggérer que Costigan aurait rêvé être le rôle que joue Sullivan et encore aurait-il perdu l’occasion de se confronter – victorieusement – à son passé. Or cette confrontation/fascination pour un autre soi-même n’est pas, d’un point de vue symbolico-sexuel neutre, qu’on le veuille ou non. Du reste, s’il n’est peut-être pas un homosexuel, Sullivan est bien un héros incomplet, c’est-à-dire un pédé » au sens des cours d’écoles en ce sens qu’il n’assume pas la fonction de virilité absolue, idéal des petits garçons[12]. Il ne semble pas d’ailleurs que l’explicite impuissance de Sullivan puisse signifier ce qui serait pourtant logique, l’incomplétude dans notre modèle sociétal, un héros impuissant n’est même pas un héros car il perd la possibilité de figurer un héros on dira même qu’il n’est pas un homme. C’est ainsi, l’impuissance de Sullivan qui, malgré tout reste un peu un héros ne serait-ce que pour tenir le choc » face à Costigan ne peut que suggérer que son désir sexuel est orienté vers autre chose que Madeleine mais non – cela ne cadrerait pas avec notre outillage mental – qu’il est totalement impuissant. Or, comme il n’existe pas d’autre femme dans le film et qu’il est confronté à de nombreuses – et parfois écrasantes – présences masculines, Sullivan ne peut guère n’être autre chose qu’un homosexuel. De plus, il ne me semble pas que le film de Scorsese pose la question d’un héros impuissant, comme Alfred Hitchcock l’ose dans Sueurs froides, 1958[13] ; ce serait pourtant passionnant. Léonardo Di Caprio et Jack Nicholson II- Mise en abyme Matt Damon, star incomplète Le fait que Sullivan joue un rôle » écrivais-je quelques lignes plus haut. Il est évident que cette œuvre dans laquelle les personnages jouent des rôles, tout comme Le roi Lear de William Shakespeare, 1605-1606 ou Sueurs froides[14], pose question concernant la mise en abyme. En fait, elle semble interroger et jouer du rapport entre l’image et le rôle des principaux interprètes masculins. Ainsi, comme tout film important, Les Infiltrés interrogent le cinéma. Ainsi Leonardo Di Caprio joue-t-il, comme nous l’avons vu, un personnage de héros qui émerge certes difficilement mais surtout inéluctablement. Et ce alors qu’il apparaît aujourd’hui comme une vraie star de cinéma, destin auquel il a toujours été promis mais qui mit un certain temps à s’accomplir il y avait ainsi un espace à franchir entre le fantasme pour adolescentes vendu comme un paquet de lessive et le vrai séducteur viril qu’il est désormais en mesure de jouer. Quant à Jack Nicholson, à son âge et ce point de sa carrière, quel rôle lui reste-t-il à composer si ce n’est justement le Diable ou Dieu c’est-à-dire un personnage qui contrôle les autres et n’est agi par nul autre que lui-même. Certains d’ailleurs ont remarqué – peu importe que cela soit ou non vrai – qu’il semblait s’être dirigé lui-même dans Les Infiltrés. Quant à Matt Damon, l’écho entre son personnage et son image est encore plus assourdissant. Sa carrière a, en effet, été marquée par un compagnonnage initial avec Ben Affleck pas forcément, notamment sur le plan physique, à son avantage du point de vue de la starification. Il a ensuite enchaîné des rôles le définissant comme étant Le talentueux Mr. Ripley – Replay » – d’Anthony Minghella, 1999 ou ayant Gerry de Gus Van Sant, 2002 un double et même comme comparse derrière les vraies stars, George Clooney et Brad Pitt Ocean’s eleven, 2001, Ocean’s twelve, 2004, Ocean’s thirteen, 2007 série de trois films de Steven Soderbergh dans lesquels il est également écrasé par une figure paternelle. De plus, quand il s’approche le plus du modèle classique de héros, son personnage est marqué c’est le pitch de ces films par une identité incertaine La mémoire dans la peau de Doug Liman, 2002 ; La mort dans la peau de Paul Greengrass, 2004 ; La vengeance dans la peau[15] de Paul Greengrass, 2007. Cela dessine donc une carrière singulière d’autant que lorsqu’il s’intègre enfin aux vraies stars comme dans Les Infiltrés où il prend place dans un grand trio d’acteurs – et il existe dans ce film, par comparaison, un petit trio composé de Martin Sheen, Alec Baldwin et Mark Wahlberg – aux côtés de Leonardo Di Caprio et Jack Nicholson, c’est pour mieux être écrasé[16] par un Leonardo Di Caprio qui, en fin de compte, reste le vrai héros donc – pour un film fonctionnant sur la mise en abyme – la seule vraie star[17]. Aussi placé brièvement sur le même plan que Leonardo Di Caprio et Jack Nicholson à l’entrée du film – ce qui, à ce stade de sa carrière, est l’ultime marche qui lui reste à franchir –, Matt Damon est, deux heures et demie plus tard, ramené à son statut de star incomplète[18] comme il est dans le film un héros incomplet. Ainsi, comme le serait un héros homosexuel, il n’a qu’un défaut ne pas cadrer avec le modèle car – et c’est cela qu’il faut noter et surtout interroger – l’homosexualité fonctionne comme une métaphore de l’incomplétude. Matt Damon et Léonardo Di Caprio Alors, pour conclure, résumons-nous Sullivan, explicitement impuissant – et ce alors qu’il n’existe qu’une seule et unique femme – dans Les Infiltrés me semble donc tendre vers un personnage homosexuel et ce d’autant plus qu’il est confronté à un double masculin idéal en la personne de Costigan ce qui ne peut guère être neutre et tend du reste à éliminer l’hypothèse d’une impuissance totale – fut-elle passagère – de Sullivan qui l’annihilerait en tant que héros. Par ailleurs, l’écho entre ce personnage et la carrière de son interprète révèle l’un des thèmes majeurs du film offrir une réflexion sur la star et le héros hollywoodien au début du XXIe siècle en utilisant pas moins de six acteurs masculins importants[19] aux âges et aux carrières contrastées. L’ensemble du tableau reste à préciser. Les infiltrés 2006, de Martin Scorsese [1] On reconnaît les figures algébriques définies par François Truffaut – dans ses entretiens avec Hitchcock – qu’il oppose à des personnages plus denses et complexes. C’est pour lui l’opposition entre cinéma de situations » et cinéma de personnages ». Si cette distinction me semble pertinente plus en tout cas que celle entre cinéma de genre et cinéma d’auteurs, je considère que l’opposition entre les deux types de personnages est trop forcée un héros peut comprendre des dimensions archétypales et receler en même temps une complexité rendant tout ou partie de ses actes inexplicables ou plutôt indécidables. Dans tous les cas, il convient d’éviter les stéréotypes. Voir Truffaut François, Hitchcock/Truffaut, édition définitive, Paris, Gallimard, 1993, pages 161-166, 268, 288. [2] De même éprouve-t-on parfois une gêne et même un dégoût devant certaines images anodines » c’est mon cas devant la façon dont Rainer-Werner Fassbinder filme le corps, vieux et laid, de l’héroïne Brigitte Mira de Tous les autres » s’appellent Ali, 1974 ; il s’agit-là, à mon sens, du principal intérêt d’un film où la présentation et la dénonciation du racisme dans l’Allemagne des années 1970 reste très conventionnelle si ce n’est même caricaturale. [3] D’où l’égoïste nécessité de donner du plaisir à l’autre – ce à quoi Sullivan ne semble pas en mesure de parvenir y compris dans la première moitié du film – pour renforcer cette négation. [4] Le grand dramaturge norvégien Henrik Ibsen écrivait ainsi Questionner est ma vocation, répondre, non » cité par Michel Meyer dans Ibsen ou l’invention du théâtre moderne » in Ibsen Henrik, Drames contemporains, Paris, Le Livre de Poche, 2005, pages 5-38. [5] Que l’on songe à certains artistes engagés … [6] On peut d’ailleurs s’interroger sur la signification de sa sanctification laïque » finale ; et la mettre en rapport avec son statut de héros positif. [7] Ce changement, dommageable du strict point de vue de la vraisemblance, entre le film original Infernal Affairs de Andrew Lau et Alan Mak, 2003 qui fait apparaître deux personnages féminins et le remake de Scorsese trouve ainsi une explication. [8] Cela explique son hésitation combien de fois observe-t-on une différence entre ce que l’on nous a appris sur ce que l’on devrait ressentir le scénario/la présentation de la vie et ce que nous ressentons réellement le film/la vie. [9] On remarque d’ailleurs que le nom de Costello est beaucoup plus proche de celui de Costigan que de celui de Sullivan. [10] On pourrait par ailleurs reprocher à Martin Scorsese de sacrifier le personnage de Madeleine pour en faire une idée, la Femme, voire – avec une perspective machisante – un objet. Ce serait, à mon avis, une injustice une œuvre, si riche soit-elle, ne peut brasser toutes les dimensions de l’Univers. Ici le sujet, c’est l’homme le héros, le père, le fils, l’homme fantasmé, l’acteur, … avec comme postulat qu’il est différent de la femme il n’y a donc guère d’étude sur la nature de cette différence ; ce n’est déjà pas si mal. [11] Avec Les Infiltrés, Martin Scorsese présente une variation » sur le thème du double déjà largement exploré puisqu’il apparaît comme l’un des pivots des œuvres des trois plus grands créateurs occidentaux, Shakespeare, Dostoïevski et Hitchcock. [12] Pour revenir sur un point précédent, s’agit-il d’un idéal appris ou ressenti ? Cela dépend. [13] A moins que Scottie James Stewart ne soit nécrophile ; voir Truffaut François, Hitchcock/Truffaut, édition définitive, Paris, Gallimard, 1993, pages 206-210. [14] Ce dernier étant, à mon sens, la référence absolue en la matière. [15] Ce dernier film, par ailleurs un peu répétitif, se conclut sur une belle idée ramener Jason Bourne Matt Damon, héros à l’identité détruite, à une ombre. [16] Il n’y a bien sûr là aucun jugement de valeur sur la performance d’acteur de Matt Damon ; nous ne sommes pas dans un cas où un acteur éclipse l’autre comme dans Les Valseuses de Bertrand Blier, 1974, où Gérard Depardieu surpasse irrémédiablement Patrick Dewaere. [17] En ce sens, des trois interprètes principaux du film, Matt Damon est le seul qui prend un risque. Ce qui est logique car il est initialement le moins connu des trois à ce niveau aussi, la mise en abyme fonctionne. [18] On pourrait ainsi paradoxalement poser que le mieux pour la carrière future de Matt Damon serait qu’un spectateur voit non pas Les Infiltrés film mais seulement son affiche. [19] On peut d’ailleurs aller au-delà en s’intéressant aux acteurs moins connus et à leurs rôles. 11octobre 2000 en salle / 1h 56min / Thriller. De Christopher Nolan. Par Christopher Nolan , Jonathan Nolan. Avec Guy Pearce , Carrie-Anne Moss , Joe
Date de sortie 8 mars 2000 2h 14min De Anthony Minghella Avec Matt Damon, Jude Law, Philip Seymour Hoffman , Gwyneth Paltrow Genres Thriller, Drame Nationalité Américain Synopsis d’allociné Italie, fin des années cinquante. Le jeune Dickie Greenleaf mène la dolce vita grâce à la fortune de son père, en compagnie de Marge Sherwood. Plutôt irrité par son comportement irresponsable, Herbert Greenleaf, riche armateur, demande à Tom Ripley de ramener son fils en Amérique. Tom découvre un monde éblouissant, qu’il ne soupçonnait pas, et ira jusqu’au meurtre pour conserver cette vie de rêve. Le trio formé par Jude Law, Gwneth Paltrow et Matt Damon Avis Lorsque j’ai vu que Le talentueux Mr Ripley était rediffusé à la télé, j’ai sauté sur l’occasion pour le voir. Je ne sais pas trop pourquoi mais je l’ai raté lors de sa sortie au cinéma. J’avais l’occasion de voir des acteurs tels que Jude Law et Matt Damon que j’apprécient énormement. Avec ce film vous revenez fin des années 50 où pour aller en Europe depuis les Etats-Unis on prend le bateau. On s’échange des télégrammes ou des lettres. L’atmosphère est très envoutante. Cela commence par un malentendu innocent, une supercherie, qui aura des conséquences fatales. L’ambiance du film monte en puissance, la tension est palpable.. Le scénario est très bien construit, on ne s’ennuie pas un instant. C’est un thriller classique et efficace. On suit avec attention les personnages. Ils sont interprétés par des acteurs talentueux comme Jude Law alors au début de sa carrière ou Matt Damon. Ils ont tous un jeu impeccable, chacun jouant sa partition à merveille. C’est intéressant de voir ces acteurs maintenant chevronnés à leur début. Je dois l’avouer, j’ai un petit faible pour Jude Law, franchement qui ne se perdrai pas avec lui. Il fait perdre la tête à tout le monde. Que dire de Matt Damon, il joue à merveille, il a un des personnages principaux. Gwyneth Paltrow complète ce trio. Ce n’est pas une de mes actrices préférées d’ailleurs je n’ai pas vu beaucoup de ses films mais elle jouait bien son rôle. Un bon film a besoin aussi de personnages secondaires à la hauteur. Cate Blanchett et Patrick Seymour Hoffmann remplissent aisément cette tache. Malheureusement Patrick Seymour Hoffman est décédé en février 2014. J’ai aimé voir ce film, je le recommande. Il arrive de passer à coté de grands films à leur sortie, c’est ce qui m’est arriver. Chose maintenant réparée. Auteur du blog Viver a vida is wonderful, Traveladdict, éternelle bavarde et buveuse de capirinha mes passions sont multiples. Bienvenus ici !
LeConcert Film Complet Streaming Français Gratuit Bluray #1080px, #720px, #BrRip, #DvdRip. Live. D'après Günter Grass, un chef-d'oeuvre baroque de Volker Schlöndorff qui met en scène, d'en bas, la grotesque difformité du nazisme. 9/10. Quelques années plus tard, Mamoru retrouve Fioré, qui est devenu fort étrange.
Résumé Tom Ripley, jeune homme désargenté mais ambitieux, attire l'attention d'un riche vieillard, Herbert Greenleaf, qui le charge de convaincre son fils Dickie, exilé en Italie, de rentrer aux Etats-Unis. Sur place, Tom se laisse fasciner par l'existence insouciante et dorée que mène le jeune oisif. Il adopte ses goûts, imite son comportement, désire sa compagne, et va jusqu'à s'éprendre de Dickie lui-même. Celui-ci, dans un premier temps, traite Tom comme un ami mais, très vite, il commence à le trouver encombrant, pour ne pas dire énervant. Un jour, alors qu'ils sont seuls en mer, Tom avoue son amour à Dickie, qui le repousse violemment. Le conflit qui s'ensuit se termine par la mort de Dickie... Images Aucune image importée pour ce film. Acteurs Avec Matt Damon, Gwyneth Paltrow, Jude Law, Cate Blanchett, Philip Seymour Hoffman, Jack Davenport, James Rebhorn, Sergio Rubini, Philip Baker Hall, Celia Weston, Fiorello, Stefania Rocca, Ivano Marescotti, Anna Longhi, Alessandro Fabrizi, Lisa Eichhorn, Gretchen Egolf, Jack Willis, Frederick Alexander Bosche, Dario Bergesio, Larry Kaplan, Claire Hardwick, Antonio Prester, Lorenzo Mancuso, Onofrio Mancuso, Massimo Reale, Emanuele Carucci Viterbi, Caterina Deregibus, Silvana Bosi, Gianfranco Barra, Renato Scarpa, Deirdre Lovejoy, Brian Tarantina, Guy Barker, Bernardo Sassetti, Perico Sambeat, Gene Calderazzo, Joseph Lepore, Rosario Giuliuni, Eddy Palerno, Byron Wallen, Pete King, Clark Tracey, Jean Toussaint, Geoff Gascoyne, Carlo Negroni, Beppe Fiorello, Marco Quaglia, Alessandra Vanzi, Marco Rossi, Roberto Valentini, Francesco Bovino, Stefano Canettieri, Marco Foti, Ludovica Tinghi, Nicola Pannelli, Paolo Calabresi, Pietro Ragusa, Simone Empler, Gianluca Secci, Manuel Ruffini, Pierpaolo Lovino, Roberto Di Palma
ONSCHOOL MAGAZINE, le magazine éducatif des jeunes, déjà en kiosque. Dans sa coutume d’assister les jeunes dans leur éducation et leur épanouissement au quotidien, l’association BIFTY (Be Involved For The Youth) met sur pied un magazine éducatif mensuel au nom d’ON SCHOOLMAGAZINE.L’objectif principal est d’accompagner ces jeunes dans leurs activités et
Publié le 15/08/2015 à 1500 Dix ans après Le Patient anglais le film aux neuf Oscar, Anthony Minghella retrouve Juliette Binoche. Avec Par effraction, l'auteur-réalisateur et producteur offre à son actrice fétiche un rôle de choix dans une oeuvre intimiste à la portée Binoche interprète une immigrée bosniaque veuve, mère d'un adolescent, tombée sous le charme d'un riche et bel architecte londonien, chargé de rénover son quartier. Jude Law Le Talentueux Mr. Ripley, Retour à Cold Mountain se glisse avec sa classe habituelle dans le costume de ce Britannique malheureux dans sa vie de couple. Il joue avec sincérité un homme délaissé par sa femme la sublime Robin Wright Penn, la femme du président dans House of Cards qui va tomber amoureux fou de Juliette effraction est un film intéressant, intelligent et plutôt bien construit. Le scénario multiplie les thématiques amour, délinquance, immigration, autisme, déterminisme social sur fond de conflit familial. La réalisation évite la caricature et les clichés, et le film oscille entre l'histoire d'amour tragique, le drame social et le portait retiendra notamment la scène où Jude Law, à qui l'on demande la vérité et qui aimerait tant la dire, est forcé de mentir pour sauver les apparences. Mais on est d'autant plus déçu par cette fin abracadabrante, qui vient ruiner l'équilibre subtil et la crédibilité, que l'oeuvre avait réussi à maintenir en dépit d'un scénario toujours sur le fil.
. 497 419 362 205 432 114 433 464

le talentueux mr ripley explication fin